[MAJ du 6 février]
Emma également candidat
Un article de nos confrères de L‘Usine Nouvelle, daté du 5 février, fait état de 7 offres préliminaires déposées, au total, pour la reprise de Dunlopillo, émanant d’acteurs étrangers ou français. Est mentionnée, en particulier, la société allemande Emma, qui vient donc s’ajouter aux deux autres candidats dont le nom est connu, à savoir Pikolin et Finadorm (voir ci-dessous).
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Alors que nos confrères des Echos ont annoncé, ce 3 février, que le groupe espagnol Pikolin (propriétaire, pour moitié, du Français Cofel) se portait candidat à la reprise de Dunlopillo – placé, rappelons-le, en redressement judiciaire le 18 décembre dernier – l’Aveyronnais Finadorm annonce, ce jour, avoir lui aussi déposé une offre pour racheter le fabricant de matelas intégré, jusqu’alors, au groupe Adova.
Une offre de rachat avec “la ferme intention de sauver cette marque référente sur le marché de la literie” : le groupe Finadorm annonce, ce 5 février, être lui aussi candidat – aux côtés de Pikolin, autre repreneur potentiel connu à l’heure qu’il est – à la reprise des matelas Dunlopillo (société Paris Bedding, faisant elle-même partie de la holding Adova), basés dans les Yvelines. Finadorm, représenté par son fondateur et dirigeant Jean-Rémy Bergounhe, est connu du secteur du meuble par son pôle literie réunissant les fabricants Technilat et, depuis un peu plus d’un an, Biotex. Trois autres entités, positionnées sur l’habitat de loisirs, les équipements pour structures accueillant les jeunes enfants et la construction viennent compléter l’activité de ce groupe né il y a 35 ans, qui réalise aujourd’hui 100 M€ de CA – dont le pôle literie génère un quart -, emploie 620 collaborateurs répartis sur 10 sites de production… Jean-Rémy Bergounhe est, par ailleurs, le président du Syndicat Français de la Literie, détenteur des labels Belle Literie et Belle Literie Excellence.